Mes points positifs sont bien plus précieux que mes échecs

 

Le nom de ce mois, Tammuz, peut être réarrangé de deux manières très différentes. On peut lire que « zu tam » – simple et entier, ou « zu Met » – ceci est mort. Rabbi NaHman nous enseigne dans l’histoire de «Le HaHam et le simple » que tout le monde a un choix simple à faire. En se concentrant sur les aspects positifs -même imparfaits- et en profiter comme le fait le simple  « comme le sucre et le miel » – je peux devenir une personne qui sait apprécier chaque évènement. Cette joie dans ma réussite, peu importe sa dimension, construit une base solide pour la poursuite de ma croissance spirituelle et pour un état d’esprit positif en continu.

La voie du « HaHam » -sophistiquée – d’autre part, est le chemin de la mort. Ni la vitalité, ni la joie, ne peuvent survivre au point de vue irréaliste et perfectionniste de la vie du « sophistiqué » .

Cela va être « mon service divin du mois »: choisir de me concentrer sur la joie que m’apporte mes accomplissements, même minimes à la place de mes nombreuses imperfections ou échecs.

Ma vie spirituelle ne peut être construite que sur un fondement de joie, peu importe les évènements.

 

Traduction libre d’un article de Breslov.org

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