L’Hitbodedouth est universelle

Rabbi Nathan était tellement convaincu de l’immense valeur de faire Hitbodedouth la nuit, qu’il déclara une fois: « Viendra un temps où cette pratique sera appliquée par tous, comme aujourd’hui où chacun met le Talith et les Téfiline. »

extrait de L’Epanchement de l’Ame.

Rabbi NaHman déclarait que s’il avait connu plus tôt la puissance de la Hitbodedouth et du Tikoun Haklali il ne se serait jamais astreint aux jeûnes volontaires. Etrangement, ces privations semblent psychologiquement plus « faciles » que de parler avec Hachem de manière régulière. En effet, le jeûne consiste à ne pas manger ou boire donc à ne « pas faire », à être passif.

Parler avec Ha-chem, mis à part la difficulté de trouver parfois les mots pour exprimer ses maux, ses remerciements et ses demandes, consiste à prendre du temps. Ce « bon temps » et ces actions sont pourtant tellement bénéfiques pour « garder le contact » avec Ha-chem et renforcer son élan dans la Téchouva.

Ha-chem, s’il te plait, aide moi à trouver la force et l’envie de me rapprocher de toi. Accorde moi 5 minutes chaque jour, le matin avant la Téfila ou sur le chemin pour aller travailler ou entre midi et deux ou le soir avant de me coucher pour m’adresser à toi. Accepte mes paroles simples mais sincères, accepte mes remerciements, et donne moi la force d’accéder à une Téchouva chéléma et une Emouna Chelema. Amen.

 

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