Le petit mot sur la paracha de la semaine avec le Rav Shimon Benyamine

וְאַתָּה תְּצַוֶּה אֶת בְּנֵי יִשְׂרָאֵל וְיִקְחוּ אֵלֶיךָ שֶׁמֶן זַיִת זָךְ כָּתִית לַמָּאוֹר: לְהַעֲלֹת נֵר תָּמִיד »« 

« Pour toi, tu ordonneras aux enfants d’Israël de te choisir une huile pure d’olives concassées, pour le luminaire, afin d’alimenter les lampes en permanence.« 

Rabbi Nathan, l’élève de rabbi NaHman, nous explique ce passouk de la manière suivante: pour pouvoir réparer ses « mauvaises » pensées il fallait tout amener au chef de la génération, le tsadik, Moché Rabbenou. Dans chaque génération se trouve un tsadik qui a cet aspect. Pour pouvoir allumer la Menorah du Mishkane puis du Beth Hamikdach il fallait amener de l’huile d’olive pure, rare mais trouvable.  Cette huile correspond à nos pensées qui même si elles ne sont pas toutes pures, chacun doit croire qu’au plus profond de lui-même existe un point positif qui n’est touché par aucune tentation. En poursuivant constamment cette recherche et s’en s’attachant à ce point positif pur, cela amène à allumer sa Nechama pour arriver à « bruler » nos envies et pouvoir prier et parler avec Hachem sans être perturbé par le monde extérieur.

Chabbath Chalom  

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