Réjouir quelqu’un , c’est vraiment redonner la vie à une âme juive.
Tous les jours, D.ieu envoie des messages à l’homme et par Ses allusions, l’incite à s’attacher à Lui. Il convient d’élargir son esprit pour les comprendre. Il existe cependant une certaine limite au-delà de laquelle il est interdit d’approfondir ces allusions. La mitsva des tsitsith crée le cadre nécessaire à l’intérieur duquel l’esprit doit agir. C’est pourquoi nous mettons les tsitsith avant les téfilin. Il faut d’abord crée le cadre, afin de ne pas franchir la frontière. C’est alors seulement qu’il est sain de s’efforcer de comprendre les allusions envoyées par D.ieu. Cette évolution de la compréhension est représentée par les Téfilin.
– Likoutey Etsot (Conseils) – Tsitsith n°5
Tout comme le corps, l’âme est guérie par des médications amères. […] En cas de maladie physique, le corps devient parfois si faible que la malade ne peut plus tolérer les souffrances causées par les remèdes. […] Le péché – qui est la maladie de l’âme – peut rendre le patient incapable de tolérer l’amertume du traitement.[…] Mais D.ieu est plein d’amour. Celui qui désire vraiment se rapprocher de Lui, doit avoir foi que toutes les souffrances qu’il endure ont beau être amères, il a assurément la force de les supporter et de briser tous les obstacles.
Likoutey Etsot (Conseils) – La patience (adapté du n°2)
Il peut nous arriver de ne ressentir aucun enthousiasme dans nos prières. Il convient dans ce cas de faire comme si nous étions réellement enthousiastes. C’est comme celui qui semblant d’être en colère… jusqu’à ce qu’il soit vraiment en colère.
Likoutey Etsot (Conseils) – La Prière n°92